Ces enjeux ont été mis en évidence par les scientifiques depuis des dizaines d’années et sont repris dans les célèbres rapports du GIEC.
Une dizaine d’élèves éco-délégués ainsi que trois professeurs ont participé à l’atelier, qui était animé par un intervenant formé par l’association La fresque du Climat. Cette association, présente dans de nombreux pays, propose en effet de diffuser les connaissances du GIEC, en organisant les fresques du climat.
L’atelier s’est très bien passé, les participants ont notamment étés frappés par le fait que finalement, l’humanité est en train de se détruire elle-même ! Une des impressions partagées était également que les inégalités sont manifestes : ceux qui sont responsables de la perturbation du climat et de la biodiversité ne sont pas ceux qui la subissent le plus (populations pauvres, faune et flore).
Un moment était prévu pour laisser s’exprimer les participants, car ces constats à l’échelle mondiale suscitent bien sûr des réactions émotionnelles. Pour clore la matinée nous avons essayé d’envisager nos possibilités d’action. Une première action pourrait être d’organiser une autre fresque du climat, pour faire participer d’autres usagers de l’établissement : si vous êtes intéressés mais que vous n’avez pas pu participer à la première session, n’hésitez pas à le faire savoir.